Pour la première fois, on a des chiffres québécois. Avec seulement 7% des écoutes, la part de marché de la musique québécoise en ligne est 7 fois moins élevée en comparaison avec les ventes de disques, dont 50% vont à des produits québécois. Notre musique peine à rejoindre son public, et cela a un impact sur l’ensemble du secteur.
«Il est plus que temps que les services de musique en ligne, pour la plupart étrangers, soient, eux aussi, tenus de mettre en valeur notre musique et de participer à son financement»
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La lettre ouverte a également été discutée à l’émission de radio Tout un matin avec Patrick Masbourian et Michel Désautels: cliquez ici pour l’écouter